Hello !
On roupille ici !

Pas plus tard qu'hier m'est venue à l'esprit cette question : qui a décidé (et testé) qu'une liaison ampli/HP à basse impédance devait impérativement se faire via du câble multibrin ?
Nos maisons sont électrifiées via du câble monobrin de forte section (1,5 à 6mm² en général) afin de véhiculer les forts courants ad hoc. Rien n'interdit d'utiliser du multibrin à condition d'ajouter les embout de câblage et d'augmenter la section en conséquence (pratique pour du "gros cube" dans des tableaux étroits ou encombrés). L'objectif est de répondre à l'équation U=Ri.
Concernant notre passion commune, en dehors d'une évidente meilleure flexion du multibrin (que l'on appelle communément
souple) vs monobrin (appelé
rigide), y a-t-il une logique électronique et/ou acoustique à ce choix ?
Encore une fois, à part U=Ri je ne vois pas, du haut de mon savoir aussi empirique que partiel, en quoi le bât blesse.
Sachant que sur le parcours du signal il y a de la rigidité en paquets : pistes cuivre, relais, connecteurs, borniers...
Attention : il n'est pas question ici de parler de qualité des câbles, je l'interdis